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Visitez la région Épire dans le Nord de la Grèce en voiture

Europe - Europe, Grèce
Pas noté
Tarif Indicatif

à partir de 895 € hors vols

Durée

8 nuits sur place

Type de Voyage

Autotour ou Séjour Détente et Farniente

Présentation

  • Une région peu connue de la Grèce

  • Et pourtant l’Épire dans le Nord de la Grèce est une région splendide avec des paysages uniques et une riche histoire

  • Une destination culturelle à faire en autotour

Itinéraire

Voir l'itinéraire en détail Carte de l'itinéraire

JOUR 1 : ARRIVÉE À THESSALONIQUE

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  • Arrivée à  l’aéroport de Thessalonique et prise en charge de la voiture

  • Nuit à l’hôtel à Thessalonique

JOUR 2 : DÉCOUVERTE DE THESSALONIQUE / KASTORIA

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  • Petit déjeuner a l’hotel

  • Une partie de la journée est consacrée à la découverte de Thessalonique, de ses monuments et musées

  • La ville a été fondée par un synœcisme organisé par Cassandre de Macédoine en 315 av. J.-C., qui l’a baptisé en l’honneur de sa femme, Thessalonikè, fille de Philippe II de Macédoine. Grâce à sa localisation au croisement d’axes de communication, Thessalonique devient donc rapidement un centre commercial important. Son développement continue pendant la domination romaine, malgré le sac de la ville après la défaite de Persée de Macédoine à Pydna.  Thessalonique profita de la création de la Via Egnatia, la grande route transbalkanique méridionale. Une communauté cosmopolite de marchands s’y installe, faite de Juifs, d’Italiens et de Romains.

  • À la fin du IIIe siècle, l’empereur Galère choisit d’y élire domicile et y construit un palais et de nombreux édifices publics. Dans sa lutte contre la chrétienté, il fait de saint Dimitri un martyr qui est devenu le saint patron et protecteur de la ville. Après avoir été protégée par Venise de 1423 à 1430, elle alors définitivement prise par les Ottomans de Murad II.

  • Salonique au début du XXe siècle est une ville multiethnique : elle compte autour de 120 000 habitants, dont 80 000 Juifs, 15 000 Turcs et 15 000 Grecs, 5 000 Bulgares et 5 000 Occidentaux. Elle est une des quatre plus grandes villes de l’Empire Ottoman. Elle en est une des villes les plus modernes et un des plus grands ports. Salonique est aussi devenue un important centre de bouillonnement politique. Ainsi, le Comité Ottoman de la Liberté, qui joue un rôle important dans la direction du mouvement des Jeunes-Turcs, voit le jour à Thessalonique en août 1906. Durant la première guerre balkanique, un des objectifs de la Grèce, dans le cadre de la Grande Idée, est Thessalonique. Elle est conquise en novembre 1912.

  • A voir :

  • La rotonde Saint-Georges se distingue par son minaret construit par les Turcs, qui l’avaient transformée en mosquée. Originellement, cet édifice romain devait servir de mausolée pour l’empereur païen Galère, mais, étant mort loin de Thessalonique, sur un champ de bataille, il n’y fut pas enseveli.Vers 400, le bâtiment fut consacré au culte chrétien, et fut agrandi d’une abside et d’un déambulatoire circulaire. Sa coupole fut ornée à la même époque de mosaïques à fond d’or : le Christ debout tenait la croix. La zone inférieure présente sur deux registres, les restes des pieds des apôtres, et des architectures de fantaisie sur lesquelles apparaissent huit saints martyrs, les bras étendus dans le geste antique de la prière

  • Au Nord de la ville, les remparts datant du IVème siècle après JC, entourant l’acropole, sont très bien conservés.

  • La Tour blanche est un monument de Thessalonique, situé sur le front de mer, et transformé en musée. Elle est souvent considérée comme le symbole de la ville. La tour actuelle date du règne du sultan Soliman le Magnifique. Une tour plus ancienne occupait le même site, probablement datant de la période d’occupation franque. La tour servit tour à tour de fort, de caserne et de prison. En 1826, sur ordre du sultan Mahmud II, un massacre des prisonniers eut lieu dans la prison, ce qui lui valut l’appellation Tour du sang. Pendant des siècles, la Tour blanche fit partie intégrante des murailles de la ville, des murailles détruites en 1866. Lors de la prise de la ville par les Grecs en 1912, la tour fut blanchie en signe de purification, ce qui lui vaut son nom actuel. Bien que la tour ne soit plus aussi blanche, elle conserve son nom. Elle abrite une exposition retraçant toute l’histoire de la ville.

  • La Crypte de St Demeter : Sous le sanctuaire et les ailes de la Basilique byzantine d’Aghios Dimitrios, on a découvert le martyrium du Saint. C’était à l’origine une installation thermale romaine où St Déméter aurait été incarcéré. Elle est aussi le centre de vénération de l’huile sacrée jaillissant du tombeau de Dimitrios.

  • L’Arc de Galère, le symbole du triomphe des Romains, a été construit en 305 pour célébrer la victoire de l’Empereur romain sur les Perses. La structure complète consistait en quatre principaux piliers et deux plus petits, le tout supportant un dôme. Cet arc, rattaché au Palais de Galère et à la Rotonde formait un grand complexe. Aujourd’hui il ne reste qu’une partie de cet arc et les raisons de la destruction de ce monument ne sont pas encore connues. Seulement trois piliers et une partie de la maçonnerie ont été préservés. Les deux principaux piliers sont recouverts de plaques de marbre sculptées, qui racontent l’histoire de la guerre de Galère contre les Perses.

  • Autres curiosités : Le musée archéologique, le musée de la culture byzantine, le musée juif, la mosquée Hamza Bey, les bains turcs, le quartier “Ladadika”, les marché de Modiano et Kapani.

  • Dans l’après-midi départ pour Kastoria. Ville macédonienne de fourreurs depuis des siècles, Kastoria est construite sur une partie d’une presqu’île au milieu du lac d’Orestiada. Elle est atypique par le nombre important de petites églises byzantines qui parsèment ses rues dont il en reste 50. La plupart furent construites entre les IXe et XIIe siècles. Ses maisons de fourreurs sont également remarquables, souvent dans un état de délabrement avancé, ce qui est une preuve d’authenticité

  • Temps libre pour vous promener dans les ruelles étroites de la ville et sur les rives du lac afin d‘admirer les beaux paysages et les nombreux oiseaux présents tels que les pélicans et les cygnes.

  • Nuit à l’hôtel à Thessalonique

JOUR 3 : EXPLOREZ LA RÉGION DE KASTORIA

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  • Petit déjeuner à l’hotel

  • Journée consacrée à la découverte de Kastoria et de ses environs

  • Curiosités :

  • Avgi (Dispilio), près de Kastoria, un site néolithique daté de 5 500 ans avant notre ère, est en cours de fouilles. Le site est très bien préservé. Les grandes structures de formes ronde et rectangulaire en pierre, et les nombreux trous de poteaux permettent d’appréhender les techniques de construction de maisons qui ont pu atteindre 2 étages. Le matériel trouvé témoigne d’échanges à longue distance : sceaux en argiles, perles d’ambre, de malachite, bracelets en coquillages. Des vaisselles miniatures, ainsi que 20 figurines humaines et animales, 2 flûtes en os et des restes alimentaires soulignent le caractère rare de ce site. Les études sont en cours pour comprendre les structures sociales, les valeurs et les identités des habitants.

  • Le musée Byzantin à Kastoria qui présente une collection d’icônes, restreinte mais passionnante couvrant la période 12eme-17eme siècle.

  • Les églises Byzantines à Kastoria : La ville comprend environ 70 églises byzantines qui datent entre le 9eme et le 19eme siècle et dont certaines ont des peintures murales d’une grande valeur historique et technique

  • Nuit à l’hôtel à Kastoria

JOUR 4 : DIRECTION ZAGORIA

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  • Petit déjeuner à l’hotel

  • Journée consacrée à la découverte de Kastoria et de ses environs

  • Curiosités :

  • Arcturos a été fondé en 1992 afin de mettre un terme au phénomène de l‘ours dansant qui était alors commun en Grèce. Depuis Arcturos a activement contribué à la conservation des grands carnivores en Grèce et autour des Balkans. L’application de recherches et de recueil d’informations permet une intervention dynamique dans les cas où des habitats importants sont menacés ou détruits par de grands travaux d’aménagements tels des routes, barrages, carrières et bien d’autres. En parallèle, Arcturos effectue des études environnementales spécialisées dans des secteurs écologiques d’importance élevée. Au cours des 15 dernières années Arcturos a développé des initiatives basées sur des dispositions législatives précédemment non mises en place, ce qui a amélioré les règlements existants. Pour la première fois en Grèce, Acturos a effectué une évaluation sur la situation démographique des deux grands carnivores présents aujourd’hui dans la péninsule hellénique, l’ours brun (arctos d’Ursus) et le loup (lupus de Canis). En même temps Arcturos a entrepris des études sur la présence possible du Lynx eurasien (lynx Lynx), dans les régions transfrontières des Balkans Du sud. Les informations collectées sont utilisées pour la soumission d’instructions générales dans divers dépositaires et établissements impliqués dans la conservation des grands carnivores en Grèce. Les propositions suivantes ont pour résultat la formulation du plan d’action national pour l’ours brun pendant qu’il contribuait à la formulation du plan d’action PAN-Européen pour les grands carnivores. Aujourd’hui Arcturos continue toujours à développer des actions pour la conservation de la faune sauvage dans la vaste région de la péninsule balkanique. Le centre environnemental d’Arcturos a été établi en 1998 à Aetos Florina, qui à l’origine a été fondé pour fournir un abri et des soins aux ours et aux loups qui ont été trouvés en captivité illégale. De nos jours avec plus de 50.000 visiteurs par an, le centre est devenu un point de focalise pour la région et vise à:
    – Ce que le public prenne conscience des questions de conservation
    – Promouvoir la recherche scientifique sur les grands carnivores et leurs habitats
    – Aider à la collaboration internationale dans les Balkans Du sud
    – Contribuer au développement durable dans les régions sauvages
    – Promouvoir le volontariat 

  • Pour le moment cinq secteurs dans la préfecture de Florina constituent le centre, le sanctuaire de l’ours brun a Nimfeo, le centre d’information de l’ours brun a Aetos, le sanctuaire du loup et le centre d’information du loup a Agrapidia et la station vétérinaire a Aetos.  Les sanctuaires ont été créés afin d’éradiquer le phénomène de captivité illégale des espèces par des particuliers. Les animaux qui sont confisqués sont stérilisés et abrités dans le sanctuaire où ils resteront pour le reste de leurs vies, à condition que leur présence temporaire en états de captivité exclue la possibilité de réadaptation et de réintroduction dans leur environnement naturel. Chaque sanctuaire a son propre centre d’information où des visiteurs peuvent être informés au sujet du développement des espèces, de la distribution géographique en Grèce, de la biologie, de l’écologie, et des menaces auxquelles ils font face aussi bien que de la façon de les aborder. 

  • La visite comprend :
    – Expose d’information
    – Visite au sanctuaire de l’ours situe à Nymfeo
    – Visite du sanctuaire du loup à Agrapidia (15 kms de Nymfeo)

  • Ou : Lac de Mikro Prespa

  • Les lacs Prespa sont deux lacs partagés entre l‘Albanie (38,8 km2), la Grèce (84,8 km2) et la République de Macédoine (190 km2). Ils sont situés à une altitude de 853 mètres. Le grand lac est partagé entre les trois pays tandis que le plus petit est partagé uniquement entre la Grèce (43,5 km2) et l’Albanie (3,9 km2). La partie en Grèce est classée dans les parcs nationaux de Grèce. Entouré par les montagnes hautes, le lac de Prespa captive par sa beauté naturelle exceptionnelle. Les lacs ont longtemps attiré les moines en quête d’ascèse. Aujourd’hui, les oiseaux et les poissons y sont rois.  La convention de Ramsar a classé le petit lac de Prespa ‘biotope d’intérêt international’.” Le parc national de Prespa est l’un des dix parcs nationaux grecs. Le Petit Lac, entouré de roseaux, est le meilleur endroit pour observer les oiseaux, en particulier au printemps. Paradis pour les amateurs de tourisme vert, les villages qui entourent les lacs de Prespa recèlent de nombreux vestiges historiques, en particulier des églises byzantines du Xe siècle. Du matériel imprimé est disponible. La Société pour la Protection de Prespa (SPP) a réalisé le programme LIFE-Nature : «Protection et Conservation des espèces d’oiseaux prioritaires du lac Mikri Prespa»de 2002 à 2007. Aujourd’hui, après l’accomplissement du programme, sont présentées dans ce fascicule les actions qui ont été menées pour la protection de la biodiversité de Prespa, ainsi que leurs bénéfices sur l’environnement naturel et socio-économique de la région. Le programme LIFE-Nature à Prespa a été décisif pour l’application de mesures de gestion à grande échelle de la zone humide, pour la recherche et la surveillance systématique, pour l’investissement en infrastructures et force humaine, pour l’information et la sensibilisation du public, et pour l’établissement de procédures de coopération sur plusieurs niveaux avec les autorités compétentes au niveau local, national et international.

  • La priorité pour la région est la continuation des interventions de gestion ainsi que leurs applications à long terme, de façon à ce que soit assuré la continuation sans problème des activités écologiques de base du lac, avec des bénéfices directs sur la nature et l’homme, mais aussi, le plus important, que soient protégées à moyen et à long terme les caractéristiques naturelles et culturelles de Prespa. Les activités d’information et de sensibilisation du programme LIFE constituent pour la SPP la continuation d’un projet à long terme, mais aussi un outil important pour atteindre son but. Par le programme LIFE, la SPP a développé des méthodes précises d’approche du public et de diffusion de messages en utilisant plusieurs moyens : les centres d’information, l’édition de brochures, l’envoi de courriers, des présentations, le développement de programmes d’éducation à l’environnement pour les écoles locales, la création d’un site internet, la publication d’articles et de communiqués de presse, la production de matériel audiovisuel et l’implication de volontaires.

  • Visites des 3 villages accompagne par le guide du parc 

  • Aghios Germanos : dernier village de la Grèce, il tourne le dos à la montagne pour faire face au lac de Prespa. Aujourd’hui lieu de départ privilégié de randonnées, ne comptant qu’une centaine d’habitants, il fut autrefois très prospère et cela se ressent à la vue des bâtisses imposantes qui le composent. La principale activité des habitants est la culture des gros haricots blancs qui sont réputés pour être les meilleurs du pays.  Dans le village vous visiterez l’église byzantine d’Aghios Germanos qui date du 11eme siècle. Sa coupole repose sur 4 piliers et forme à sa base un carre aux coins arrondis et non un cercle parfait comme Ste Sophie à Thessalonique.  D’Aghios Germanos le bus vous amènera vers le lac. En cours de route vous aurez l’occasion d’observer les oiseaux avec des jumelles ou télescope.

  • Arrivée à l’îlot d’Aghios Achillios que l’on atteint en traversant à pied un long pont flottant (700m). Quelques pêcheurs et leurs familles habitent l’îlot au milieu de l’antique cité de Lyki et de quelques églises. La plus importante est la basilique d’Aghios Achillios qui date du 10ème siècle. 

  • Continuation vers Psarades, le seul village de pêcheurs de la région construit sur les rives du lac.  Ici on vit au rythme de l’eau et du poisson. On peut arranger une promenade en barque sur le lac !

  • Continuation vers la région de Zagoria, très belle région sauvage de l’Epire.

  • Zagoria, région constituée de 46 villages typiques repartis, sur une superficie très étendue, dans une nature sauvage et montagneuse. Les villages sont réputés pour leur beauté, leur architecture et leur histoire. Loin des attraits méditerranéens, voici la vieille Grèce, sauvage et rustique, celles des randonneurs et des alpinistes. D’origine slave, le mot Zagoria suggère un endroit situé « au-delà des montagnes ». Ici pas de site antique, mais des villages musées, des ponts de pierres, et le canyon de Vikos inscrit au Guinness Book, qui font de cette région une merveille.

  • Nuit à l’hôtel dans la région de Zagoria

JOUR 5 : DÉCOUVREZ LA RÉGION DE ZAGORIA

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  • Petit déjeuner 

  • Journée de découverte de cette merveilleuse région en découvrant certains de ses villages les plus pittoresques. Parmi les plus connus et les plus beaux ; Megalo & Mikro Papingo(dans la vallée de la rivière Voidomatis), Monodendri, Aristi, etc… et les gorges de Vikos, parmi les plus belles et les plus profondes d’Europe. Elles font partie du Parc National Vikos – Aooscrée en 1973 et qui couvre 12.225 hectares. La faune sauvage est caractérisée par de grands prédateurs, comme l’ours brun et le loup ainsi que par des espèces plus rares et qui y sont protégées. La flore également est très riche et particulière de cette région boisée et montagneuse.

  • Nuit à l’hôtel dans la région de Zagoria

JOUR 6 : ZAGORIA / IOANNINA / METSOVO

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  • Petit déjeuner à l’hôtel. 

  • Ensuite départ pour Ioannina, la capitale de l’Epire construite sur les bords du lac Pamvotis

  • A voir :

  • On peut y découvrir la vieille ville, dans et autour de la citadelle, avec des maisons traditionnelles encore habitées aujourd’hui, le musée Byzantin et la Trésorerie. Une des attractions les plus remarquables d’Ioannina est l’îlot d’Ali Pacha sur le lac Pamvotis.

  • Continuation vers le village de montagne de Metsovo situé dans le Pinde à une altitude de 1160m et installation à votre hôtel

  • Les personnes âgées y portent encore le costume traditionnel.

  • Metsovo est réputé pour son fromage, un très bon vin local mais également pour son artisanat local de sculpture d’objets en bois dont de très belles cannes.

  • Nuit à l’hôtel à METSOVO

JOUR 7 : METSOVO - LES MÉTÉORES - KALAMBAKA

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  • Petit déjeuner et départ pour Kalambaka

  • A voir :

  • Les monastères des Météores (en grec, « monastères suspendus au ciel ») sont situés au nord de la Grèce, dans la plaine de Thessalie, à proximité de la ville de Kalambaka, à l’embouchure de la rivière Pinios, dans la vallée du Pénée, haut lieu du monachisme orthodoxe. Ce sont des monastères chrétiens orthodoxes. Classés au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1988, ce sont des constructions à vocation religieuse perchées au sommet d’impressionnantes masses rocheuses grises, sculptées par l’érosion et appelées Météores. Les rochers, au sommet desquels les monastères sont construits, sont, d’après les écrits d’Anciens, des roches envoyées sur la terre par le ciel, d’où leur nom de météores, pour permettre aux ascètes de se retirer et de prier. Les premiers moines à habiter les Météores (XIe siècle) vivaient dans des grottes, en ermites. Les premiers monastères datent du XIVe siècle. Ils furent construits afin d’échapper aux Turcs et aux Albanais. Athanase, chassé du mont Athos, fonda le Grand Météore avec plusieurs de ses fidèles, suivi par d’autres communautés (jusqu’à 24 lors de l’apogée au XVe siècle) qui occupèrent les rochers. À partir du XVIIe siècle, de nombreux monastères furent progressivement abandonnés. Certains furent détruits ou abîmés au cours des guerres, notamment au début du XIXe siècle par les troupes d’Ali Pacha. Vers 1920 furent aménagés les escaliers actuels permettant un accès plus facile. Seuls six monastères sont aujourd’hui en activité, ayant parfois été réoccupés après une période d’abandon : Agios Nikolaos (Saint Nicolas), Agios Stefanos (Saint Étienne), c’est aujourd’hui le seul ensemble occupé par des moniales, Aghia Triada (Sainte Trinité), Grand Météore (ou monastère de la Transfiguration).

  • Nuit à l’hôtel à Kalambaka

JOUR 8 : KALAMBAKA / THESSALONIQUE

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  • Petit déjeuner et départ pour Thessalonique

  • A voir en cours de route :

  • Le site de Vergina : Aigéai fut la première capitale du royaume de Macédoine, avant d’être supplantée par Pella. Le site archéologique en a été retrouvé près de la petite ville de Vergina par l’archéologue M. Andronicos en 1977. Il est classé au patrimoine mondial par l’Unesco. La tombe dite “de Philippe II” : c’est une tombe qui possède deux chambres : un vestibule, et la chambre funéraire proprement dite. Elle est couverte d’une voûte en berceau et présente une façade uniquement décorative et sans lien structurel avec le reste du bâtiment. La tombe dite “de Perséphone” : c’est une tombe à ciste mesurant 3.5m * 3m * 2m. Elle doit son nom à la fresque de l’Enlèvement de Perséphone par Hadès qui orne un des grands côtés. Elle relève d’un style tout à fait différent, de par la rapidité de la touche et la variété des effets picturaux, c’est pourquoi on l’attribue à la période de la maturité de Philoxénos d’Érétrie. Mais Pline l’attribuerait plutôt à Nicomaque (maître de Philoxène d’Erétrie). La tombe dite “du Prince” : On y a trouvé les restes d’un jeune homme dans une hydrie funéraireen argent agrémentée d’une couronne, ainsi que de la vaisselle d’argent nombreuse et variée.

  • Arrivée à Thessalonique et installation à votre hôtel

  • Nuit à l’hôtel à Thessalonique

JOUR 9 : RETOUR EN FRANCE

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  • Petit déjeuner

  • Départ pour l’aéroport et remise de la voiture 

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